L’Empereur César ne supporte plus que le petit village gaulois résiste encore et toujours. Il propose alors un défi à Astérix, Obélix et tous leurs amis : s’ils remportent les douze épreuves qu’il leur soumet, il ne les attaquera plus.
Les Douze Travaux d’Astérix
C’est Albert Uderzo et René Goscinny eux-mêmes qui se charge d’adapter sur le grand écran cette aventure des Gaulois. Il s’agit du second et dernier film d’animation réalisé par les auteurs originaux après ASTÉRIX ET CLÉOPÂTRE (1968). Cette fois-ci, ils vont être accompagnés d’Henri Gruel et Pierre Watrin. Pour l’occasion, une histoire originale va être écrite avec l’aide de Pierre Tchernia.
J’avais revu ce film d’animation le jour de la disparition de Albert Uderzo. C’était pour rendre hommage au dessinateur, et créateur avec René Goscinny, de la bande dessinée Astérix et Obélix. Mon choix c’est porté vers les Les Douze Travaux d’Astérix car c’est mon préféré.
Un goût de nostalgie
Je ne me lasse pas de revoir cet excellent film d’animation. Dire que je n’étais pas née à sa sortie. Il n’a pas vieilli 44 ans après. J’arrive à retomber en enfance à chaque fois.
Surtout que forcément les dessins n’étaient pas encore à l’ère du numérique. Ça fait du bien de revoir des vrais traits et revenir à la source de cet art.
Avec tant de bonheur
De base, j’adore Astérix et Obélix dont les aventures m’éclatent. Dans celui-ci, on ressent l’esprit d’origine. Cette histoire inédite est très bien trouvée. Elle va reprendre astucieusement le concept des « douze travaux d’Hercule ». J’aime beaucoup ce mythe grec, mais à la sauce humoristique de Goscinny et Uderzo, c’est encore meilleur.
Comme vous l’aurez compris, le film se divise entre les différentes épreuves. Celles-ci vont apporter beaucoup de diversité. À aucun moment je me suis ennuyé. Elles seront ingénieuses et plusieurs sont mémorables. Elles mettront bien en avant nos deux Gaulois préférés. Je dois avouer que je préfère Obélix et là je me suis fait plaisir notamment avec celle du repas. La durée du film est courte, 1h20, mais quel plaisir.
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