Tick, Tick…Boom!

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Tick, Tick…Boom! : À l’approche de ses 30 ans, un jeune compositeur prometteur jongle entre l’amour, l’amitié et l’envie de réussir quelque chose de grandiose avant qu’il ne soit trop tard.

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C’est la première réalisation de Lin-Manuel Miranda créateur de la comédie musicale Hamilton. Il adapte ici la comédie musicale Tick, Tick… Boom! de Jonathan Larson. Le scénario a été écrit par Steven Levenson. Le 19 Novembre 2021 en salle.

Coup de cœur gigantesque pour ce film qui est une pépite.

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Que faire

Cette œuvre a été un succès démarré à Off-Broadway avant d’être exporté dans le monde entier. Elle a vu le jour en 2001 au Jane Street Theatre à New York grâce à la plume de Jonathan Larson. Celui-ci en fera une semi-biographie. La reconnaissance ne fut pas de suite au rendez-vous pour cet homme pas comme les autres. Il reçut trois Tony Awards à titre posthume et un prix Pulitzer de l’œuvre théâtrale à titre posthume pour la comédie musicale Rent.

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Ce récit est tellement magnifique. La construction est très intéressante entre passages scène scènes où Jonathan est avec son piano, et d’autres sur le dérouler de sa vie. Ces enchainements vont être parfaitement fluides et vont même s’enrichir l’un l’autre. On est dans un cercle vertueux où la qualité ne cesse de s’améliorer au fil des minutes s’écoulant. J’étais parfaitement plongé dans ces deux axes qui se rejoignent et s’enlacent. L’émotion va rapidement nous envahir avec cette histoire des plus touchantes. Ce personnage est atypique et sa passion est belle à voir. Il peut se passer n’importe quoi avec lui, et on aime ça. J’ai autant rigolé que j’ai été ému. Une vraie merveille.

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Avec le temps qu’on a

Tick, Tick… Boom! n’aurait pas été pareil sans ses musiques. Cela fait partie intégrant du charme. D’habitude, je n’aime pas les comédies musicales, mais là je dois reconnaitre qu’en plus d’avoir adoré, c’est devenu ma préférée. J’ai bougé un rythme des chansons mélodieuses. Elles s’intègrent parfaitement dans le récit. Leur dosage est juste car elles agrémentent avec brio cette histoire en étant assez nombreuse pour donner un peps génial, mais sans être trop envahissante en bloquant l’avancement. Je pourrais vous en parler longuement mais je ne veux pas vous gâcher le plaisir de la découverte.

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Il est cependant impensable de terminer cette critique sans souligner la performance fantastique d’Andrew Garfield. On connaît la justesse de cet acteur et encore une fois, il touche la perfection. Son style de jeu s’adapte à merveille au personnage. Il n’empêche pas les rôles secondaires de briller notamment avec Vanessa Hudgens. Elle fête deux sorties la même semaine sur Netflix en étant à l’affiche de La Princesse de Chicago : en quête de l’étoile. Son énergie enchante et sa sublime voix fait le reste. J’ai été aussi étonné par Robin de Jesús que je ne connaissais pas mais qui a un rôle poignant. Tous ces personnages gravitants autour de Jonathan Larson, donnent une richesse conséquente.

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