Après la journée spécial homme invisible, voilà celle spéciale THE BOY avec la critique du premier (2016) là, celle de la suite ce soir.
C’est une réalisation de William Brent Bell qui fera aussi le numéro 2. Le scénario a été écrit par Stacey Menear.
Dans THE BOY, on retrouve Greta (Lauren Cohan) qui est engagé par une famille comme assistante maternelle par une famille. Sur place, elle découvre qu’en réalité l’enfant est une poupée et qu’elle doit s’en occuper.
Ce film d’épouvante-horreur est vraiment bien. J’aime beaucoup l’ambiance qui est construite autour de cette vieille maison anglaise. Ça a son charme. Le plat de résistance restant la fameuse poupée « Brahms ». Une vraie intrigue se construit autour de sa oublié. Oublié la tension car honnêtement, il n’y en a quasiment pas. C’est même un des défauts du film d’avoir du mal à trouver un véritable équilibre. Par moments c’est trop calme, et d’autres passages sont trop mouvementés. Mais à aucun moment, on ne sursaute. Je dois cependant avouer que cela n’aurait pas été désagréable de travailler plus cette partie de l’épouvante. Là, tout va se jouer autour du mystère de cet enfant en cire. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il cache bien son jeu. Malgré tout, avec un second visionnage j’ai relevé quelques petites incohérences étant mise pour nous induire en erreur. Heureusement, la première fois qu’on le regarde ce n’est pas choquant car l’histoire se tient bien. Niveau casting, Lauren Cohan (THE WALKING DEAD) est loin de m’avoir renversé. La présence de Rupert Evans sauve un peu les meubles. Il apporte une belle touche.
THE BOY n’est donc pas à négliger.