Arthur, malédiction : Alex est un fan des films Arthur et les Minimoys depuis qu’il est enfant. Pour son anniversaire, ses meilleurs amis lui font la surprise de l’emmener dans la maison abandonnée où le film a été tourné. Aucun d’eux ne se doute alors qu’ils se dirigent vers un piège machiavélique et mortel. Ce qui était autrefois un rêve d’enfant va bientôt se transformer en véritable cauchemar…

Arthur, malédiction
C’est une réalisation du Suisse Barthélémy Grossmann. L’idée est venue à Luc Besson grâce aux vidéos d’urbex de fans allant découvrir les lieux de tournage d’Arthur et les Minimoys. Ce film horrifique français est sortie le 29 juin 2022 en salle.
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Arthur et urbex en points de départ
La hype autour de ce film était vraiment des plus importantes. Après tout reprendre l’univers d’Arthur et les Minimoys pour le transformer en horrifique était intrigants. Bien entendu Luc Besson n’est jamais très loin quand il s’agit de sa franchise. Pour rappel, la saga à succès Arthur et les Minimoys compte au total trois films : Arthur et les Minimoys (2006), Arthur et la vengeance de Maltazard (2009) et Arthur 3 La Guerre des deux mondes (2010). Malheureusement, la chute est dure pour Arthur malédiction qui est un fiasco total.
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Le concept n’est pourtant pas mauvais. On se base la vague de l’urbex avec une dose de fanbase d’Arthur et les Minimoys. Seulement avoir deux lignes de scénario, ça ne suffit pas. Rien ne va se tenir tout au long du film. Les facilités scénaristiques sont beaucoup trop nombreuses. Cela en devient véritablement fatigant. Le pire reste sûrement l’explication finale de cette tragédie. Elle est juste scandaleuse tellement, c’est du grand n’importe quoi. Surtout que ça n’explique pas un grand nombre d’événements.

Pour arriver sur un raté total
Même la partie horrifique est ratée. On sent la volonté de s’inspirer du classique américain Détour mortel, mais la qualité n’est pas au rendez-vous. Cela se voit dans certaines exagérations ou encore dans la mise en scène. En revanche, cette méthode n’étant pas maîtrisée, cela devient ridicule. La réalisation, qui se veut être moderne, est très vite fatigante. Tout cela sans parler du fait que les scènes gores sont censurées pour qu’Arthur, malédiction soit accessible à un public pré-adolescent.
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Pour la forme, on va parler du casting. À part Yann Mendy qui est à peu près moyen, le reste est totalement à la ramasse. Les personnages sont vides de sens, ça n’a aucun intérêt. On n’a même pas un minimum de plaisir de les voir mourir. Une pensée à la fille de Luc Besson, Thalia Besson, qui a été balancée là et qui n’est franchement pas douée.
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