J’ai tué mon mari : Anna, sous l’emprise de son mari violent depuis plusieurs années, commet l’irréparable lors d’une énième dispute. Le jour de son inculpation, sa vie bascule une nouvelle fois quand elle découvre qu’il est toujours en vie et que leur fils est en danger. Elle n’a alors plus d’autre choix que de s’évader..

J’ai tué mon mari
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C’est une création commune de Sophie Dab, Rémy Silk Binisti et Lucie Frejaville. Seule cette dernière avait un peu d’expérience dans le domaine des séries. Cette création 13ème Rue est diffusé à partir du Lundi 29 Novembre sur la chaîne. Elle comptabilise pour l’instant une saison de 6 épisodes, chacun ayant une durée de 45 minutes.
Cette bonne série m’a plutôt convaincu avec des épisodes qui peuvent s’enchainer rapidement.
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A la recherche de la vérité
Tout va être centré sur le meurtre de son mari. La série commence pile sur cela et le but va être de comprendre pourquoi. Qu’est-ce qui peut pousser une femme à pousser d’un coup son mari dans le vide. Personne n’a de réponse, et on dirait qu’elle non plus. Cela ne va pas être facile pour la police.
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J’ai aimé toute cette atmosphère se créant autour d’Anna. La raison de son acte est floue et même elle n’y croit pas. Il y aura alors un procédé de trouble savoir où se situe véritablement la réalité. A-t-elle vraiment voulut en finir avec son mari ou cela n’est-il qu’une énorme méprise. On va alors basculer un peu dans la sphère complotites. Les avancés qui sont faites sur cette voie ne sont pas inintéressant, mais un peu trop hésitant. La série jongle avec plusieurs sujets et axes sans réussir à tous les développer entièrement. L’accélération de la progression se fait un peu vite.

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Pour protéger son fils
J’ai bien aimé le développement des personnages. Au départ, Anna est très éloigné du spectateur, puis au fur et à mesure des épisodes, on va se prendre d’empathie pour son cas. J’avoue ne pas toujours avoir été fan de ses “plans” un peu fouillis et pas forcément logique. Erika Sainte connaît se style thriller car elle a un rôle important dans la série Les Rivières Pourpres. Par contre, c’est l’apport des personnages secondaires qui fait toute la différence. Je pense notamment à l’homme joué par le talentueux Melan Omerta. J’adore cet acteur en devenir et sa personnalité ressort bien. On peut aussi compter sur une énergique Tiphaine Daviot pour dynamiter les situations. Je suis aussi content d’avoir pu voir Antoine Gouy, de la série Lupin, dans le rôle du mari. Ce personnage mérite d’être plus développé.
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Parlons du final de la série, sans pour autant venir spoiler. Dans la globalité, il y a du bon et du moins bon. Une formule certes classique mais qui va bien retranscrire cette conclusion. En effet, des éléments clés vont être révélé expliquant une partie importante de l’intrigue. Cela va donner une tournure prenante aux événement et on va se refaire la série dans notre tête pour analyser le tout. Malgré que la cohérence globale soit au rendez-vous, il reste quelques zone d’ombres malheureusement. J’aurai aussi aimé un final un peu plus punch. Malgré tout, l’ensemble de J’ai tué mon mari reste une belle satisfaction et va en ravir plus d’un.
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