Une fois que tu sais – Sonner l’alarme du dérèglement climatique

Une fois que tu sais

Une fois que tu sais : Confronté à la réalité du changement climatique et à l’épuisement des ressources, le réalisateur Emmanuel Cappellin prend conscience qu’un effondrement de notre civilisation industrielle est inévitable. Mais comment continuer à vivre avec l’idée que l’aventure humaine puisse échouer ? 

Une fois que tu sais

Une fois que tu sais

Note : 4 sur 5.

C’est la première réalisation d’Emmanuel Cappellin. Le Français qui a étudié les sciences de l’environnement et le développement international à l’Université McGill (Canada). Le scénario a été écrit en collaboration avec Anne-Marie Sangla. 

L’environnement est au cœur des préoccupations actuelles et j’ai trouvé ce documentaire très bien fait.  

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Il y a 40 ans il était possible de ralentir les choses

Il est toujours important de s’informer sur le dérèglement climatique et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Emmanuel Cappellin tire fort la sonnette d’alarme. Il veut que les gens se rendent compte que la situation actuelle n’est pas tenable. Je trouve d’autant plus cela intéressant que nous avons à faire à un homme ayant de bonnes notions dans ce domaine. Rien n’est laissé au hasard. 

En effet, son documentaire va être construit de manière très fluide. L’enchainement des idées se fait naturellement afin de guider le spectateur. Sa narration va créer un fil rouge prenant. On sent aussi un travail au niveau du montage. Que ce soit l’intro dynamique, mais aussi le contenu multimédia rajouté pour illustrer les propos, nous ne sommes pas passivement en train d’écouter des intervenants. 

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Aujourd’hui ce n’est plus le cas

Ceux-ci sont vraiment pertinents. Ils vont nous présenter leur vision des choses mais aussi les solutions qu’ils pensent adapter. Ce n’est pas juste un constat mais une ouverture. Bien entendu, je vous invite à aller regarder d’autres reportages pour les points ayant captivé votre attention. L’écologie est une thématique très large et beaucoup de sujets sont brassés. Les deux intervenants que j’ai préférés sont Pablo Servigne, l’homme ayant popularisé le concept de collapsologie, et Jean-Marc Jancovici, un vulgarisateur sur les thèmes de l’énergie et du climat. 

L’une des grandes qualités de ce documentaire, l’apport d’information, sur la fin en a fait la faiblesse aussi selon moi. En effet, il dure 1h45 et emmagasiner “one shot” autant de renseignement ce n’est pas forcément évident. On parle de sujets sensibles où il faut toujours être attentif avec l’apprentissage de notion qu’on ne connaît pas obligatoirement en commençant à regarder. Il manque peut-être quelque temps de calme pour permettre à l’esprit de se ressourcer. Pour les novices en la matière, il faudra la revoir plusieurs fois afin de bien assimiler les différents concepts.   

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