Une affiche haute en couleur flashy, de la science-fiction épouvante australienne, il n’en fallait pas plus pour me faire voir NEKROTRONIC (2019).
C’est une réalisation de Kiah Roache-Turner. Le scénario a été écrit par Tristan Roache-Turner.
Dans NEKROTRONIC, on retrouve Howard (Ben O’Toole) qui découvre avoir des pouvoirs mystiques. Il va devoir combattre les forces du mal.
Dans son style déliré, j’ai trouvé que c’était un très bon film. C’est vraiment du grand n’importe quoi mais dans la bonne manière. En effet, j’ai passé un moment très fun. Car en plus d’être tournée vers la science-fiction et l’horreur, en arrière-fond il y aura une bonne dose de comédie. Le mélange fonctionne plutôt bien et m’a fait beaucoup rire. Ça va tellement loin que ça en devient bon. Les personnages sont totalement loufoques. Cela va engendrer certaines scènes hilarantes et totalement décalées. L’ambiance sera dans le même style. Elle est assez spéciale mais j’ai aimé. Même les effets spéciaux ne sont pas trop mal pour ce genre de film. On sent que le réalisateur s’est tapé un total délire. Il s’est fait plaisir et ça se sent. Car il ne faut pas être trop exigeant, il fallait bien qu’il y ait un point faible. Celui-ci est le scénario. Forcément comme ça part en vrille, l’histoire a du mal à suivre. Je l’ai trouvé pas terrible du tout, et bancale. Avant de conclure, je dois dire que j’ai été surpris de la présence de Monica Bellucci dans le rôle de la méchante. Je pense que la star Italienne avait dû se perdre pour atterrir dans ce genre de production.
NEKROTRONIC sort de nulle part pour nous transporter dans une autre dimension.