Hunger Games: la Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur : Le jeune Coriolanus est le dernier espoir de sa lignée, la famille Snow autrefois riche et fière est aujourd’hui tombée en disgrâce dans un Capitole d’après-guerre. À l’approche des 10ème HUNGER GAMES, il est assigné à contrecœur à être le mentor de Lucy Gray Baird, une tribut originaire du District 12, le plus pauvre et le plus méprisé de Panem. Le charme de Lucy Gray ayant captivé le public, Snow y voit l’opportunité de changer son destin, et va s’allier à elle pour faire pencher le sort en leur faveur. Luttant contre ses instincts, déchiré entre le bien et le mal, Snow se lance dans une course contre la montre pour survivre et découvrir s’il deviendra finalement un oiseau chanteur ou un serpent.
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HUNGER GAMES : LA BALLADE DU SERPENT ET DE L’OISEAU CHANTEUR
C’est Francis Lawrence qui réalise ce cinquième opus de la franchise Hunger Games se déroulant 64 ans avant le premier. Il avait déjà fait trois films de la saga. Hunger Games : La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur est tiré du roman de Suzanne Collins. Ce film de science-fiction américain est sorti au cinéma le 15 novembre 2023.

L’origine de Snow
On peut se demander l’intérêt de nous avoir fait ce préquel. En effet, se pencher sur la jeunesse de Coriolanus Snow n’apporte pas grand-chose à la saga. À la sortie du film, on ne sent pas l’univers plus enrichi. Avoir un préquel démarrant réellement avant les Hunger Games aurait eu plus d’impact. En revanche, on ne va pas bouder notre plaisir devant un opus qui est clairement réussi.

Un éclairage pas obligatoire
Le traitement du personnage est excellent. Il faut dire que Tom Blyth est vraiment génial. Avec lui, on ressent vraiment l’aspect maléfique de Snow qui grandit avec l’avancement du film. Comme un puzzle prenant forme. Le personnage de Lucy Gray est un bel apport. La candidate du District 12 met du piment avec son caractère, mais aussi ses chansons touchantes. Dommage que Rachel Zegler en fasse trop.
Le vrai problème du film vient surtout du rythme. La durée de plus de 2h30 est incompréhensible. La première partie s’étire en longueur inutile. L’avant arène semble même interminable par moments. Heureusement que celle-ci est bien dynamique. À l’inverse, la dernière partie pèche en étant trop hâtive. On ne va pas au bout du déroulé psychologique de Coriolanus Snow.

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