Une Journée à New York : 24 heures de délire attendent deux soeurs jumelles que tout oppose. Farouches adversaires, Jane et Roxanne Ryan, 17 ans, sont contraintes de se rendre ensemble à New York pour des raisons toutes différentes. Mais un quiproquo bouleverse leurs plans, les associant malgré elles à une transaction louche…

Une Journée à New York
C’est une réalisation de Dennie Gordon. Le scénario a été écrit par Emily Fox, Adam Cooper (Admis à tous prix) et Bill Collage (Détour mortel). Cette comédie américaine est sortie le 18 août 2004 en salle. Elle est disponible en VOD sur Filmo et en SVOD sur Netflix.
Les soeurs Olsen sur grand écran
Les jumelles Olsen ont véritablement marqué la jeunesse des années 2000. Actuellement, elles ont disparu médiatiquement, et c’est sœur leur sœur Elizabeth qui est en haut de l’affiche. Une Journée à New York est le dernier qu’elles ont fait ensemble. On prend donc notre machine à remonter le temps une direction l’an 2000 et New York.
En soi, Une Journée à New York n’est pas mauvais. Ce n’est pas pour autant qu’on peut dire qu’il est bon. Cette comédie s’inscrit dans la zone grise des films totalement neutre à voir. La vraie curiosité vient donc des jumelles. Forcément, le petit côté nostalgique joue dans le visionnage. On reconnaît le style teenager il y a 20 ans et ça sent bon le souvenir. Même la ville de New York a l’air tellement innocente que ça en est touchant.

Un air de nostalgie
Après l’histoire ne va pas chercher bien loin. Les nombreuses péripéties vont nous faire rester attentif. Forcément, il a toujours quelque chose, mais ce n’est pas pour autant intéressant. Au moins, on ne s’ennuie pas. Il y a peu de temps mort. L’esprit renvoie des bonnes ondes quoi qu’il arrive. La facilité de la résolution des problèmes est impressionnante. C’est véritablement le symbole de l’adolescence avec les petits problèmes, mais qui sont toujours surmontable.
Revenons-en au clou de ce film qui sont les jumelles Olsen. Elles étaient en perte de vitesse à ce moment-là et ça se sent. L’alchimie entre elle est toujours au top. Par contre quand elles sont solos, c’est très laborieux. Concrètement, elles ne sont pas bonnes actrices. C’est tout de même mignon de revoir ces deux filles qui étaient le symbole de la superficialité. En acteur secondaire, on a quand même Eugene Levy, le père de Jim dans American Pie. Quel plaisir de le revoir. Par contre son rôle n’a strictement aucun sens un peu l’image de cette comédie.
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