BigBug – Le créateur d’Amélie Poulain passe à la comédie futuriste

BigBug | Netflix

BigBug : En 2045, l’intelligence artificielle est partout. À tel point que l’humanité compte sur elle pour assouvir ses moindres besoins et ses moindres désirs – même les plus inavouables… Dans un quartier résidentiel tranquille, quatre robots domestiques décident soudain de retenir leurs maîtres en otages dans leur propre maison. Enfermés ensemble, une famille pas tout à fait recomposée, une voisine envahissante et son robot sexuel entreprenant sont donc obligés de se supporter dans une ambiance de plus en plus hystérique ! Car, à l’extérieur, les Yonyx, dernière génération d’androïdes, tentent de prendre le pouvoir. Tandis que la menace se rapproche, les humains se trompent, se jalousent, et se déchirent sous les yeux ahuris de leurs robots d’intérieur. Et si, au fond, c’étaient les robots qui avaient une âme… ou pas !

BigBug | Netflix
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BigBug

Note : 3 sur 5.

 C’est une réalisation de Jean-Pierre Jeunet a qui ont doit notamment des bijoux comme Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain et Un long dimanche de fiançailles. Il a écrit le scénario avec son collaborateur habituel Guillaume Laurant. Cette comédie française est disponible le 11 février 2022 sur Netflix.

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Direction le futur

On va être plongé dans un monde futuriste où les robots ont une place considérable. Celui-ci va toutefois être vraiment réaliste dans sa manière de montrer ce que peut être demain. L’utilisation des robots est intégrée totalement dans le quotidien. Après, forcément, il y aura la branche tellement intelligente qu’elle veut prendre le dessus sur l’homme. C’est toujours le cas. Cet univers se tient bien dans sa construction. En matière de design aussi, c’est une pure réussite. Les décors sont familiaux avec une touche d’originalité. 

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C’est donc une très bonne satire qui est proposée. Ce que peut devenir notre vie si on laisse trop d’espace à la robotique. À travers les différentes situations, Jean-Pierre Jeunet va mettre le doigt là où ça fait mal. Que ce soit l’intimité malsaine avec les robots ou encore demander leur aide pour n’importe quoi. Cela montre à quel point nous sommes en train de dériver en perdant au fur et à mesure notre autonomie de vie.   



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Pour une satire de ce que pourrait être notre société

L’ambiance va cependant rester toujours légère. Dès le départ, on va commencer à bien rigoler. C’est amusant de découvrir ce monde. Malheureusement, avec l’avancement de BigBug, le ton va devenir un peu plus lourd. Il devient redondant donc forcément, on a l’impression que les sketchs tournent en rond. De plus, sur le fond, tout le message est délivré assez rapidement. Il ne reste donc pas grand-chose à se mettre sous la dent sur la fin. Dommage, car c’était vraiment fun.   

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En matière de casting, c’est assez impressionnant. Elsa Zylberstein va briller en compagnie de Stéphane De Groodt et Youssef Hajdi. Les trois vont souvent régaler. Il ne faut pas oublier l’inébranlable Isabelle Nanty et surtout Claire Chust qui est une superbe surprise alors qu’on a l’habitude de la voir dans Scène de Ménage sur M6. Concernant les rôles secondaires, c’est tout aussi plaisant avec notamment Alban Lenoir et la voix d’André Dussollier. Par contre, François Levantal est agaçant dans son interprétation du robot. Sa présence à l’écran est vite épuisante. 

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