The Sadness – Le film le plus violent de l’année au cinéma

The Sadness | ESC Films

The Sadness : Après un an de lutte contre une pandémie aux symptômes relativement bénins, une nation frustrée finit par baisser sa garde. C’est alors que le virus mute spontanément, donnant naissance à un fléau qui altère l’esprit. Les rues se déchaînent dans la violence et la dépravation, les personnes infectées étant poussées à commettre les actes les plus cruels et les plus horribles qu’elles n’auraient jamais pu imaginer… 

    

The Sadness | ESC Films
The Sadness | ESC Films


The Sadness

Note : 3.5 sur 5.

C’est la première réalisation du Canadien Rob Jabbaz qui vit à Taïwan depuis l’âge de 25 ans. The Sadness a été sélectionné au Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2022. Ce film horrifique taiwanais est sortie le 6 juillet 2022 en salle.

[themoneytizer id=”83610-28″]

Violence extrême

Ce n’est pas facile d’avoir la réputation du film le plus violent de l’année. Alors est-ce que cette étiquette que porte The Sadness est méritée ? Pour faire bref, la réponse est oui. Plus généralement, on peut voir des films plus violents, mais ils ne passent pas par la case cinéma. Cette œuvre taïwanaise se démarque donc par son passage en salle en étant interdit aux moins de 16 ans avec avertissement.    

[themoneytizer id=”83610-28″]

Le cinéma gore est un style qui marche plutôt bien en underground. La rareté de le voir en salle fait que The Sadness est un petit événement. Ce film est violent. Même si pendant les 10 premières minutes, il ne se passe pas grand-chose, quand l’horreur arrive, il va être sans pitié. Pour vous faire une idée, la première scène horrifique commence avec un visage brûlé à l’huile bouillante puis arrachée avec les mains. Il y aura ensuite beaucoup de morts, d’acte de torture, de cannibalisme, et même de viol. Pour ce dernier acte, on ne va pas voir les images directement, car ce n’est pas dans la culture asiatique, mais ce sera des contrechamps qui sont quand même évocateurs. Attention donc, âme sensible à s’abstenir, car ce n’est pas tout le monde qui pourrait le terminer.   

The Sadness | ESC Films
The Sadness | ESC Films

Un film né de la pandémie

Malheureusement, on en vient par moments à l’excès de gore. Cela est acceptable pour des comédies horrifiques, car il y a un côté amusant à voir cela. En revanche, dans The Sadness, ce n’est pas le but recherché. Alors voire autant d’hémoglobine devient un peu ridicule. Dommage, car ça casse l’atmosphère. Heureusement, ça ne va pas se reproduire trop souvent.    

[themoneytizer id=”83610-28″]

La base de l’histoire est bien trouvée. Le scénario surfe sur la vague de la pandémie avec une relecture du mythe du zombie. Les premières minutes font penser à ce qui nous est arrivé avec le Covid. Ce clin d’œil permet de s’immerger facilement dans l’histoire. Une fois qu’on est lancé par contre on fait du surplace. Le but est d’enchaîner du sanglant et non de faire avancer l’histoire. C’est dommage, car la fin de The Sadness, on a un goût d’inachevé. Ce sont toutes ces petites approximations qui empêchent ce film horrifique de rentrer dans les mémoires.    

Vous pouvez continuer à nous suivre via

La bande annonce

[themoneytizer id=”83610-3″]

[themoneytizer id=”83610-6″]

Laisser un commentaire

[themoneytizer id="83610-16"]

[themoneytizer id="83610-16"]

Laisser un commentaire

%d