LA MALÉDICTION DE LA DAME BLANCHE – Un nouveau spin-off de Conjuring (Critique)

Titre : LA MALÉDICTION DE LA DAME BLANCHE

Année de Sortie : 2019

Genre : Epouvante-horreur

Nationalité : Américain

Avis : Très mauvais

Pour la deuxième semaine de suite, on va avoir le droit à un film d’épouvante-horreur au cinéma. Après SIMETIERRE, c’est désormais au tour de LA MALÉDICTION DE LA DAME BLANCHE.

C’est Michael Chaves qui réalise ce 6ème film de l’univers CONJURING. Il fera aussi CONJURING 3 prévu pour Septembre 2020. Le scénario a été écrit par Tobias Iaconis et Mikki Daughtry.

Dans LA MALÉDICTION DE LA DAME BLANCHE, on retrouve Anna (Linda Cardellini) dont les deux enfants (Roman Christou et Jaynee-Lynne Kinchen) vont être ciblés par l’esprit maléfique de la Llorona.

Alors les CONJURING sont des films d’horreur de très bonne qualité, par contre ses spin-offs, dont celui-ci, ne sont clairement pas bons. Déjà, pour ceux qui connaissent la légende urbaine de la Dame Blanche (fantôme qui longe les routes), ici ça n’a rien à voir. Le film va s’inspirer d’une légende urbaine Mexicaine : la Llorona (la femme qui pleure). Merci à la traduction pour être aussi mauvaise. Pour une fois, je trouvais ça pas mal de partir sur un esprit qui ne soit pas estampillé USA. Mais entre la joie de la théorie et ce que j’ai ressenti en le voyant, il y a un fossé. L’histoire n’est pas terrible du tout. Quitte à choisir un esprit maléfique, il y en avait peut-être des plus palpitants. Surtout que sa mise en scène est maladroite. Dans un film d’épouvante, ce qui est génial c’est l’effet de surprise. À n’importe quel moment l’esprit peut surgir. Dans celui-ci, tout est très cadré. Les différents effets comme la musique nous annoncent « Attention la séquence qui fait peur arrive », il ne manque que les panneaux. Et cela se répète à chaque fois sauf pour le grand final qui est un peu bordélique et qui m’a conforté dans mon opinion négative. Pour ne rien arranger, les acteurs sont assez fades surtout Linda Cardellini. Il n’y a que Raymond Cruz qui sort des sentiers battus et apporte du dynamisme. Afin de nous montrer qu’il y a un rapport avec l’univers Conjuring, on nous balance Tony Amendola dans le rôle du Père Perez avec un flashback de 5 secondes où il tient ANNABELLE.

LA MALÉDICTION DE LA DAME BLANCHE surfe uniquement sur la vague « Par les Producteurs de Conjuring » sans apporter un contenu de qualité.

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