Indiana Jones et le Cadran de la Destinée – Harrison Ford termine en beauté

Indiana Jones et le Cadran de la Destinée : 1969. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l’estimé docteur Jones, professeur d’archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles. Tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d’un artefact rare que son père a confié à Indy des années auparavant : le fameux cadran d’Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. En arnaqueuse accomplie, Helena vole l’objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n’a d’autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée…

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Indiana Jones et le Cadran de la Destinée

Note : 4 sur 5.

Succédant au quatrième opus refoulé de la saga Indiana Jones, James Mangold prend les rênes de l’univers initié par Steven Spielberg avec Indiana Jones et le Cadran de la destinée. Il faut souligner que ce cinquième est tardif, arrivant 15 ans après Indiana Jones et le Royaume du Crâne. Ce film d’aventure américain est sorti au cinéma le 28 juin 2023.

Symphonie de la Nostalgie

Cet Indiana Jones et le cadran de la destinée a une saveur de nostalgie. Ce cinquième volet de la franchise, et peut être le dernier, nous fait retrouver le sourire après un Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008) quelque peu décevant. Comme une dernière dance, ce film fait un grand nombre de références aux autres. C’est fait de manière naturelle sans que cela ne sonne forcer. Une tournure agréable, car il n’y a rien de pire que le fan service bête et méchant.   

Péril du Cadran Ancien

En termes de construction, on est sur du classique. Il y a un objet archéologique sur lequel Indy doit mettre la main. Bien entendu, celui-ci possède des capacités particulières. Cette touche de fantastique est toujours aussi efficace. Elle permet de rajouter un enjeu important qui explique cette volonté d’obtenir l’artefact. Pour pimenter le tout, le chemin est loin d’être linéaire. Heureusement d’ailleurs, car ce film est le plus long de la franchise. Il y a la salve d’énigme habituelle qui est toujours un plaisir à voir.    

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L’Ombre Numérique

En revanche, il est dommage que les effets spéciaux soient autant basés sur le numérique. Avant nous avions des scènes d’aventure authentique. Désormais, les images de synthèse viennent se greffer un peu partout. Le rendu n’est clairement pas le même. Ce n’est pas les 300M$ de Budget qui changeront la donne sur plusieurs séquences clairement ratées.   

L’Héritage Intemporel

Le plus grand bonheur est de revoir Harrison Ford avec son chapeau et son fouet. Malgré ses 80 ans, il est plus en forme que jamais. Il enchaîne les passages dynamiques tout en adaptant habilement à son âge. La juste de son jeu est aussi un régal. À ses côtés, même si Phoebe Waller-Bridge n’est pas mauvaise, elle paraît fade. Il faut dire qu’elle fait aussi face à Mads Mikkelsen. L’acteur Danois était l’homme parfait pour se dresser contre Indy. La belle surprise vient du français Ethann Isidore dont la présence sonne comme une relève.    

Indiana Jones et le Cadran de la Destinée | Disney
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L’introduction a été écrite par Razio135

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